UNE FEMME SUR LE CHEMIN DE LA FÉMINITÉ À TRAVERS SA MATERNITÉ
Je m’appelle Marion et j’ai, à ce jour, 35 automnes.
À l’image de cette saison qui a accueilli ma naissance, j’incarne ces cycles de la vie qui nous enseignent que toute fin est un nouveau commencement. Jusqu’alors, mon chemin de vie m’a toujours montrée que tout changement, même celui qui semble nous dépouiller, porte en lui les graines d’un renouveau.
J’ai toujours été très connectée intérieurement à la Nature, à ses signes, ses messages, sa beauté, sa diversité, sa richesse, ses mystères, sa résilience et sa perpétuelle renaissance. Une connexion enfouie en moi, pour ne pas dire cachée, qui s’est véritablement révélée (réveillée) lorsque j’ai accueilli la Vie pour la première fois au cœur de ma matrice, en décembre 2017… avant de côtoyer, également pour la première fois, quelques mois plus tard, la fin d’un cycle, in utero.
Sur une période de deux ans, j’ai connu quatre arrêts naturels de grossesse.
Quatre petits êtres sont venus me porter des messages forts, puissants et déchirants à la fois. Chacun est venu, dans sa singularité, r-éveiller une part de moi, plus ou moins sombre, que je ne connaissais consciemment pas.
Par leurs passages furtifs, ils sont venus semer les graines d’un renouveau, dans un terreau quelque peu souillé et sali, au sein de mon temple intérieur. Ils m’ont invitée à faire ce premier pas sur ce chemin de la féminité, du Féminin, à travers ce nouveau visage, qu’est la maternité.
Une introspection profonde a alors commencé, grâce à eux.
Pour la première fois, je franchissais le pas d’une rencontre avec moi-même.
Une Véritable reconnexion à mon essence profonde s’est alors opérée au contact des Éléments, de la Nature, de la Terre Mère. Ces derniers ont alors été mes enseignants en ce qu’ils m’ont permis de créer un environnement propice à la réflexion, aux questionnements, aux choix, au lâcher prise… au deuil.

Passionnée depuis toujours par les mystères et les richesses de l’Égypte antique, je réalise mon rêve, en 2019, d’aller m’enrichir des enseignements d’un professeur jésuite au Caire sur les secrets de cette ancienne civilisation.
Ce voyage m’a montrée une autre façon d’appréhender la vie, mais aussi la mort. Cette dernière était alors perçue comme une transition vers une nouvelle vie jalonnée par divers rituels amenant à la renaissance dans l’au-delà. J’y découvre également des fresques entières montrant des femmes qui s’accouchent, accroupies, bercées par nombre de cultes, rituels, croyances, soutenues par d’autres femmes, des divinités et nourries par divers plantes aux multiples vertus. Un voyage que je termine en plongeant dans le Nil, ce fleuve qui est bien plus qu’une voie d’eau. Je lui dépose mon histoire. Je ressens sa puissance comme un lien sacré entre ciel et terre, comme source de Vie…
* MON PREMIER ENFANTEMENT – MA CLÉ DE VIE *
Deux mois après ce voyage, j’ai découvert qu’un petit être m’avait à nouveau choisie pour s’incarner… Et que cette fois, il avait décidé de naître, en Vie.

A partir de cet instant, le cycle le plus puissant de ma vie s’est ouvert : celui de naître mère.
Alors que le monde était tourné vers la guerre sanitaire du COVID-19, cette dernière ne m’atteignit pas. Tout mon être œuvrait à la création de mon bébé, loin de toute atmosphère anxiogène, de toute manipulation familiale ou sociétale, loin de toute médicalisation, uniquement en connexion avec mon bébé, dans la résilience de mon histoire passée qu’il connaissait inévitablement, puisque niché dans ma chair. Je me prie de fascination pour des lectures sur les sagesses des plantes médicinales, des us et coutumes venues d’ailleurs pour soutenir et accompagner la femme qui devient mère ou encore sur l’empreinte fœtale et la mémoire des fœtus in utero. Par ailleurs, j’étais sereine dans mon enfantement. Le seul poids que j’avais (qui n’est pas des moindre et qui me hante encore par moment) était de ne pas transmettre à mon bébé des traumatismes qui ne lui appartiennent pas.
Le 26 avril 2020, mon fils est né à la maternité, sans aucune intervention médicale, uniquement dans la chaleur de notre amour avec son papa. Un enfantement apaisé, dont la majorité du “travail” s’est faite dans la baignoire de notre maison. Une naissance naturelle, douce, rapide au cours de laquelle j’ai côtoyé “la fameuse mort” lors de ma phase de désespérance.
Mon fils a fait naître une nouvelle femme en moi ou plutôt m’a permis de rencontrer une part de moi que je ne connaissais pas encore et d’incarner pleinement cette nouvelle identité… sans oublier de l’assumer !
A partir de cet instant, une force extraordinaire, inexplicable et mystérieuse à la fois m’a envahie. J’ai décidé d’arrêter ma carrière de juriste, de prime abord car il était impensable que j’arrête mon allaitement pour aller travailler ; puis parce qu’il était inconcevable pour moi que je laisse mon fils entre les mains d’inconnues, qui plus est masquées ; et surtout parce qu’il était viscéral d’écouter mon cœur et la voie qu’il me disait de prendre… celle d’être FEMME-MÈRE.
Cette renaissance m’a amenée sur ma mission de Vie.
* ENTRE MOUVEMENT PERPÉTUEL & SOIF DE DÉCOUVERTE *
Née en Savoie avant de rejoindre la Polynésie française jusqu’à l’aube de mes 6 automnes, j’ai été élevée par cette Terre nourricière et ancestrale qui invite chaque âme sensible à établir une connexion profonde avec elle, afin de créer un lien sacré et inaliénable. Mon corps s’est animé à travers la danse tahitienne que j’ai si tôt appris. Un art ancestral où chaque geste est un langage corporel de la connexion de l’homme/la femme à la Terre Mère, aux éléments, au vivant…
Certains disent : “Tout se joue avant 6 ans!” (un sujet que je vais d’ailleurs approfondir sur MAM’ELLES LE PODCAST). Effectivement, je pense que mes premières années de vie ont été marquées par une curiosité innée et une soif de découverte de cette Terre de traditions tournée vers le lien à la Nature et aux ancêtres. Ce n’est toutefois que récemment que j’ai pris conscience de l’empreinte inconsciente que cette île a laissé en moi, même si l’Univers n’a jamais cessé de me livrer des messages sur ces liens originels cachés, oubliés voire méprisés, en raison de mon jeune âge.
Jusqu’à ce jour, je ne connais pas de terre d’ancrage, j’ai plutôt la sensation que la Terre dans sa globalité et son immensité est ma maison, mon encre.
Après Tahiti, j’ai déménagé régulièrement pendant toute mon enfance : Paris, Le Mans, Bordeaux, Le Mans et Paris de nouveau. Là, j’ai terminé mes études de droits de l’homme à l’Université de Nanterre avant de commencer mon premier emploi en tant que juriste au sein de l’association La Voix De l’Enfant qui œuvre et milite pour la défense et la reconnaissance des droits de l’enfant en France, en Europe et à l’international. Puis, j’ai décidé de quitter cette dernière, pour un poste d’officier de protection au sein de l’OFPRA. Une expérience humaine et professionnelle si riche même si marquée par trois arrêts de grossesse. Un an plus tard, une opportunité professionnelle de mon mari nous délocalise en Aveyron, où j’occupe un poste de juriste au sein de la Préfecture de Rodez. Une destination qui conserve une saveur particulière… J’y ai connu mon dernier arrêt de grossesse… Le plus déchirant… avant de connaître le bonheur infini de la naissance de mon fils et ma propre renaissance.

En Aveyron, j’ai commencé à me rapprocher de plusieurs thérapeutes holistiques. Ma naissance de mère a réveillé tellement de choses en moi sur ma lignée de femmes, les traumatismes intergénérationnels, les blessures liées à ma propre histoire mais aussi la lumière que je porte en moi et ce que je suis amenée à faire et créer au cours de ma Vie sur Terre…
Il fallait incontestablement que je me fasse aider pour me libérer et pour me rassurer, pour moi avant tout, mais aussi et surtout pour mon fils.
En 2021, nous déménageons à Toulon où j’ai lancé, totalement intuitivement, en 2022, mon projet de cœur : un podcast qui partage des récits de naissance de mères venues des quatre coins du monde. Je trouvais le format du podcast hyper adapté pour les mamans qui pouvaient vaquer à leurs occupations tout en se nourrissant des us et coutumes afférents à la maternité sans frontière.

J’étais animée par ce besoin viscéral de transmettre des récits de naissances authentiques, nourriciers avec un fort engagement pour une maternité naturelle, spirituelle, instinctuelle. Je voulais offrir aux mamans et à celles en devenir, une palette de couleurs, de possibilités d’être mère et d’incarner sa maternité pour ensuite les mener sur le chemin d’une maternité libre et consciente : la leur ! Ce projet de cœur a évolué et s’est transformé pour devenir MAM’ELLES en 2023, lors de mon emménagement à Avranches, dans la Manche.
Lors de ce passage au pied du Mont Saint Michel, j’ai rencontré Pauline, ostéopathe et doula. Elle m’a permis à travers un premier soin, de fermeture du vortex de la naissance signé Quantik MaMa, de clore ce premier chapitre. Quelques mois plus tard, j’apprenais l’heureuse nouvelle qu’un petit être avait fait son nid, de nouveau, dans ma matrice.
Une évidence s’est alors imposée naturellement à moi pour mon choix d’enfantement : à la maison, au sein de mon foyer, avec mon mari, mon fils, ma sage-femme et ma doula.
DÉCOUVREZ MON RÉCIT D’ENFANTEMENT A LA MAISON AU MICRO DE SANDRA AMBOS, L’HÔTE DU PODCAST “NAISSANCE D’UNE MAMAN“

J’ai connu un second enfantement aussi ordinaire qu’extraordinaire, guidée par une force ancestrale que je ne pourrais décrire. Tout a été fluide, doux et instinctuel… J’ai donné la Vie dans l’eau d’une baignoire d’accouchement près d’un feu allumé dans mon foyer… Trois dernières poussées qui se sont faites dans le silence, sans bruit de ma part et sans douleur grâce aux mots de ma sage-femme qui m’ont permis de lâcher totalement prise et de puiser dans cette force mystérieuse et mystique…
Nous avions décidé de rompre le cordon uniquement quand le moment serait opportun pour nous… Soit presque une heure après la naissance. Puis nous avons clampé le cordon avec le magnifique lien en macramé et pierres semi-précieuses de chez DOULADILUNE. Ma sage-femme nous a préparé un rituel au cacao venu du Brésil et aux épices. Nous avons célébré cette naissance autour de la chaleur et la puissance de cette plante médicinale. Mon mari et mon fils ont réalisé des empreintes placentaires avant d’attendre notre départ d’Avranches pour enterrer et honorer le placenta de mon fils, au pied d’un arbre dans un endroit ressource ; en résonnance avec la célébration du placenta que nous retrouvons dans la majorité des cultures à travers la Terre, et notamment en Polynésie française.
Deux heures après cette naissance qui s’inscrit dans une scène de Vie ordinaire et unique, ma doula m’a fait un resserrage de bassin avec un rebozo. J’ai continué ce rituel avec ma ceinture PADMASHKI créée par Naomi ROSSIGNOL tout au long de mon post-partum. Et je continue encore aujourd’hui de m’octroyer ce bandage du bassin quand je le ressens, suivant mes passages de vie.
* MAM’ELLES – MA MISSION DE VIE *
MAM’ELLES. Un sens premier de ce nom que j’ai choisi non par hasard qui nous rappelle notre essence commune avec les mammifères à travers nos mamelles qui nous permettent de nourrir nos bébés sur divers plans. Ce lien nourricier est universel et nous ré-unies toutes autour de ce fait naturel (mis à part les rares cas de femmes qui ne peuvent pas allaiter pour des raisons médicales) ; même s’il est devenu un fait social depuis quelques années. Il est précieux pour moi de véhiculer aussi souvent que nécessaire le message que nous faisons partie de la Nature et qu’elle est un précieux soutien et une merveilleuse alliée dans ce processus mammalien, qu’est l’enfantement.
MAM’ELLES. C’est aussi l’alliance entre deux mots : celui des Mères (avec la racine MAM –>MAMA –> MAMAN) et des Femmes (ELLES) dans leur singularité et leur diversité. L’apostrophe vient lier ces deux pa-sages de vie si puissants que sont :
la naissance d’une maman et la renaissance de la femme lorsqu’elle devient mère.
MAM’ELLES. C’est également cette maternité UNIVERSELLE, plurielle et singulière à la fois. Un espace où je questionne les différentes façons de naître mère et d’incarner sa maternité et sa féminité. Aller puiser dans des travaux scientifiques, dans des savoirs ancestraux, dans des sagesses connues ou oubliées, dans des coutumes du monde entier pour nourrir notre r-éveil de femmes du monde : c’est ce qui m’anime profondément. Mieux comprendre d’où l’on vient, nos racines, l’histoire de notre lignée de femmes, la culture et la société dans laquelle on a grandie avec telles ou telles injonctions sur la parentalité, la maternité, la féminité avec des intervenantes de tous horizons (thérapeutes, auteure, écrivaine, docteure, anthropologue…) mais aussi questionner nos propres naissances, celles de nos bébés et celles des mères d’ici ou de là, à travers des interviews plus intimistes.
MAM’ELLES c’est essentiellement un voyage que je vous offre en vous invitant à prendre rendez-vous avec vous-même pour vous souvenir de votre Véritable Nature et de la source de nos pratiques actuelles. Ma mission est alors de fournir aussi simplement que possible, non seulement des ressources aux femmes et mères qui écoutent MAM’ELLES mais aussi transmettre des informations vitales aux générations futures par le biais de mes précieuses invitées.
SE QUESTIONNER – S’ÉVEILLER- SE TRANSFORMER
Je ne suis pas là pour transmettre un contenu mais uniquement pour réveiller votre richesse intérieure à travers les savoirs d’autres femmes, en réapprenant à tisser ce lien universel, nourricier et originel entre nous.
Ma démarche à travers mon podcast est simple et repose sur trois piliers — authenticité, curiosité et diversité. Il s’inscrit dans cette volonté qui m’anime de donner la parole à celles (et ceux) qui élargissent notre manière de voir le monde.
* LE VOYAGE QUI M’A LE PLUS MARQUÉE *
2014. Ce que je j’ai vu là-bas m’a marquée, m’a transformée, m’a changée…
La première fois que j’ai atterri sur le tarmac de Bangui, un camp de réfugiés était installé aux portes de l’aéroport. Des centaines de familles et d’enfants dans des conditions inhumaines erraient là… le regard hagard.
Toute la ville était tenue par des forces armées nationales et internationales. Chaque déplacement était rudement encadré et on sentait une tension extrêmement palpable dans le regard des hommes, femmes et enfants à notre égard (nous, occidentaux blancs), parfois même une peur indescriptible pour certains. Je compris plus tard les raisons de cette terreur dans leurs yeux…
Je suis retournée à trois reprises à Bangui à la fois pour y retrouver ma famille qui y vivait à ce moment-là mais aussi dans le cadre de mes études de droit. Ces séjours ont nourri une soif d’apprendre immense sur l’origine des crises étatiques & humanitaires en proie dans tant de pays et dans lesquels, l’homme “Blanc” est omniprésent, notamment dans les décisions politiques… J’avais besoin de comprendre comment l’homme est capable d’arriver à de telles horreurs, de tels crimes envers des femmes, des enfants, des bébés… avec une soif sanguinaire de tuer… J’avais besoin aussi d’aller chercher l’origine de cette terreur, cette méfiance et cette peur que je voyais dans les yeux de ces hommes, femmes et enfants…
J’ai alors réalisé un stage auprès de la ministre de la Communication de l’époque. J’ai eu beaucoup de réponses à mes questions… Mais je n’ai pas pu communiquer dessus à mon retour en France. J’ai toutefois écrit deux mémoires sur la violation des droits humains, du droit humanitaire et des droits de l’enfants en R.C.A. C’est précisément à ce moment-là que j’ai pris réellement conscience de ma passion cachée pour l’écriture et la recherche.

Aujourd’hui, un souvenir particulier me hante. Celui de ma rencontre avec Marien, un garçon des rues, qu’ils nomment Godobé. Il a réveillé en moi les contours de ce que l’on pourrait appeler l’amour maternel ; que je ne connaissais évidemment pas jusqu’alors. Surtout, il m’a permis d’insuffler une nouvelle vocation à ma carrière de juriste naissante, celle de porter à ma façon la Voix de ces enfants, mais aussi celle des enfants violentés, violés, abusés, maltraités ou en proie à toute autre souffrance visible ou invisible.
Au-delà de ce voyage, j’ai compris il y a peu de temps, la raison de mon intérêt si grand pour découvrir les us et coutumes du monde … Je suis moi-même issue d’une lignée familiale métissée. Martinique, Réunion, Ukraine… des origines d’ici et d’ailleurs qui se révèlent au fur et à mesure que je tente de décrypter les secrets de ma famille éclectique.
* L’ÉVEIL DE MON FÉMININ ENTRE ÉCRITURE & CRÉATIVITÉ *
J’ai toujours adoré écrire. Une réelle passion qui vient du cœur. J’aime laisser ma pensée se coucher sur le papier, j’aime passer des heures, des jours, des semaines à faire des recherches sur tel ou tel sujet qui me questionne, j’aime échanger et me nourrir des savoirs de personnes éveillées qui croisent mon chemin en physique ou entre deux pages d’un bouquin…
Je savoure la Vie ainsi. En me disant que peut-être un jour… je laisserai une trace, mon empreinte, couchée sur les pages d’un livre que j’aurai écrit…
Et puis, cette transformation de Femme-Mère a aussi réveillé une forte reconnexion à mon envie de créer, de mes propres mains, des trésors naturels, pour ritualiser les pas-sages de Vie des femmes de nos sociétés, trop souvent déconnectées de la puissance que le rituel peut avoir.
Ayant une passion pour l’élément Feu, et adorant les bougies dans leurs symboliques et leur universalité, c’est évidemment vers elles que ma créativité c’est naturellement tournée.
La bougie guide nos cérémonies, tout en étant une compagne silencieuse dans nos rituels quotidiens. Chaque flamme d’une bougie est un récit unique – une danse scintillante entre tradition et modernité.

* POUR CONCLURE *
Ce travail d’écriture pour me dévoiler a été assez long pour moi… Ce n’est jamais évident de répondre à la question qui es-tu ? ou présentes-toi ?
Si vous souhaitez discuter de tel ou tel passage de ce “à propos” n’hésitez pas à m’écrire par mail à l’adresse : mamelles.lepodcast@gmail.com
Enfin, un immense MERCI DU FOND DU COEUR à toutes celles qui me soutiennent depuis le début dans cette aventure mammalienne. J’ai une profonde gratitude pour votre confiance, vos retours sur mon travail de l’ombre… Vos mots et votre soutien me donnent des ailes … ou plutôt m’aident à les déployer entièrement !
Avec le cœur les MAMAS !
Je vous vois !
Marion.